31 mai 2012 4 31 /05 /mai /2012 07:04

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... de l'Idéal d'émois

 

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31 mai 2012 4 31 /05 /mai /2012 06:25

Ghérasim Luca: Crimes Sens Initiales

 

 Le poète Ghérasim Luca lit « Passionnément »

 

 

Merci à

pas pas paspaspas pas
pasppas ppas pas paspas
le pas pas le faux pas le pas
paspaspas le pas le mau
le mauve le mauvais pas
paspas pas le pas le papa
le mauvais papa le mauve le pas
paspas passe paspaspasse
passe passe il passe il pas pas
il passe le pas du pas du pape
du pape sur le pape du pas du passe
passepasse passi le sur le
le pas le passi passi passi pissez sur
le pape sur papa sur le sur la sur
la pipe du papa du pape pissez en masse
passe passe passi passepassi la passe
la basse passi passepassi la
passio passiobasson le bas
le pas passion le basson et
et pas le basso do pas
paspas do passe passiopassion do
ne do ne domi ne passi ne dominez pas
ne dominez pas vos passions passives ne
ne domino vos passio vos vos
ssis vos passio ne dodo vos
vos dominos d'or
c'est domdommage do dodor
do pas pas ne domi
pas paspasse passio
vos pas ne do ne do ne dominez pas
vos passes passions vos pas vos
vos pas dévo dévorants ne do
ne dominez pas vos rats
pas vos rats
ne do dévorants ne do ne dominez pas
vos rats vos rations vos rats rations ne ne
ne dominez pas vos passions rations vos
ne dominez pas vos ne vos ne do do
minez minez vos nations ni mais do
minez ne do ne mi pas pas vos rats
vos passionnantes rations de rats de pas
pas passe passio minez pas
minez pas vos passions vos
vos rationnants ragoûts de rats dévo
dévorez-les dévo dédo do domi
dominez pas cet a cet avant-goût
de ragoût de pas de passe de
passi de pasigraphie gra phiphie
graphie phie de phie
phiphie phéna phénakiki
phénakisti coco
phénakisticope phiphie
phopho phiphie photo do do
dominez do photo mimez phiphie
photomicrographiez vos goûts
ces poux chorégraphiques phiphie
de vos dégoûts de vos dégâts pas
pas ça passio passion de ga
coco kistico ga les dégâts pas
le pas pas passiopas passion
passion passioné né né
il est né de la né
de la néga ga de la néga
de la négation passion gra cra
crachez cra crachez sur vos nations cra
de la neige il est il est né
passioné né il est né
à la nage à la rage il
est né à la né à la nécronage cra rage il
il est né de la né de la néga
néga ga cra crachez de la né
de la ga pas néga négation passion
passionné nez pasionném je
je t'ai je t'aime je
je je jet je t'ai jetez
je t'aime passionném t'aime
je t'aime je je jeu passion j'aime
passionné éé ém émer
émerger aimer je je j'aime
émer émerger é é pas
passi passi éééé ém
éme émersion passion
passionné é je
je t'ai je t'aime je t'aime
passe passio ô passio
passio ô ma gr
ma gra cra crachez sur les rations
ma grande ma gra ma té
ma té ma gra
ma grande ma té
ma terrible passion passionnée
je t'ai je terri terrible passio je
je je t'aime
je t'aime je t'ai je
t'aime aime aime je t'aime
passionné é aime je
t'aime passioném
je t'aime
passionnément aimante je
t'aime je t'aime passionnément
je t'ai je t'aime passionné né
je t'aime passionné
je t'aime passionnément je t'aime
je t'aime passio passionnément

 

* * *

 

Chez José Corti

 

Ghérasim Luca par lui-même  
    

    Lichtenstein 1968.
    Introduction à un récital :

     "Il m'est difficile de m'exprimer en langage visuel.
     Il pourrait y avoir dans l'idée même de création-créaction-quelque chose, quelque chose qui échappe à la description passive telle quelle, telle qu'elle découle nécessairement d'un langage conceptuel. Dans ce langage, qui sert à désigner des objets, le mot n'a qu'un sens, ou deux, et il garde la sonorité prisonnière. Qu'on brise la forme où il s'est englué et de nouvelles relations apparaissent : la sonorité s'exalte, des secrets endormis surgissent, celui qui écoute est introduit dans un monde de vibrations qui suppose une participation physique, simultanée, à l'adhésion mentale. Libérer le souffle et chaque mot devient un signal. Je me rattache vraisemblablement à une tradition poétique, tradition vague et de toute façon illégitime. Mais le terme même de poésie me semble faussé. Je préfère peut-être : "ontophonie". Celui qui ouvre le mot ouvre la matière et le mot n'est qu'un support matériel d'une quête qui a la transmutation du réel pour fin. Plus que de me situer par rapport à une tradition ou à une révolution, je m'applique à dévoiler une résonnance d'être, inadmissible. La poésie est un "silensophone", le poème, un lieu d'opération, le mot y est soumis à une série de mutations sonores, chacune de ses facettes libère la multiplicité des sens dont elles sont chargées. Je parcours aujourd'hui une étendue où le vacarme et le silence s'entrechoquent – centre choc –, où le poème prend la forme de l'onde qui l'a mis en marche. Mieux, le poème s'éclipse devant ses conséquences.

 

En d'autres termes : je m'oralise."

 

 

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30 mai 2012 3 30 /05 /mai /2012 16:29

 

Heaume_sweet_heaume_latululireli.jpg

 

Il est toujours avantageux de porter un titre nobiliaire.  Être «de quelque chose» ça pose un homme, comme être «de garenne» ça pose un lapin.


(Alphonse Allais)

 

* * *

 

Hubris

Lu brique

Les murs

Lémurien

A faire les gros yeux

Malaise dans la représentation

Leçon de chose

Si j’ose si problématique

Névrose Psychose Arthrose un clou par- si

Un cloud par là

Lalala toute cette misère qui dégouline

Pour s’échapper de la chape le bras en écharpe

 Le cri de la carpe

Rire de soie soyeuse araignée l’idéal du moi le mois idéal le mois de mais …

Oui mais…

Idéale vision du Soi invincible inatteignable Chevalier Bailleur

Jeux des nonces  jeux des ronces la rose sans l’épine ?

La pine sans le pain ?

Le yin sans le yang ?

 

Le nom de la rose humour humeur humus

 

--

le nouveau rose erre

le chat pelé

le poteau rose

le dû alité ? par de multiples oraisons –

otage ô désespoir au Tage qui passe

tous ces romans fleuves qui pleurent sur sons déserts

cérumen

in time

o’clock au je nous noueux noués

 

Didon dîna dit-on d’un dodu dindon du Don

 

arrêt sur mirage

mi-rage mi-raison

mamie de pain l’oraison de la colère

de naître pas grand ch’ose

 

........... quand finissent les questions arrive la gratitude du simple.

 

ps. Cher Chevalier Alumette, je t'ai un peu bâclé le cimier

because fanfreluche, baudruche et fifrelin*


* De l’allemand Pfifferling, « chanterelle, girolle », dérivé de Pfeffer, « poivre » (en patois suisse-allemand Pfefferling désigne le lactaire poivré). L’expression ne pas valoir un fifrelin (« ne rien valoir ») se trouve également en allemand : das ist keinen Pfifferling wert (« ça ne vaut pas un fifrelin »).
Chose de peu de valeur, en particulier menue monnaie. → voir liard, sou, tripette dans l’expression ça ne vaut pas tripette ou clou dans l’expression ça ne vaut pas un clou.

  • La faim le tiraillait. Il n’avait pas un fifrelin en poche. — (Blaise Cendrars, Or)
  • Tu t’es fait avoir, c’est du toc, ça ne vaut pas un fifrelin !

 

* * *

 

A tous ces gens qui font du lien

il y a longtemps pour moi, ce fut la voix de

Mariane OSWALD à la radio

"Les Contes du Jeudi "


* * *

"Puis ce fut, à 17 ans, la découverte des premières chansons de Jacques Prévert et Joseph Kosma, violentes et terribles, chantées par Marianne Oswald que j'allais entendre à l'Européen où elle fut sifflée par la majorité d'un public abêti."

Edgard Morin dans un article "Démocratiser la poésie"

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30 mai 2012 3 30 /05 /mai /2012 15:28

Anamnese.jpg

 

 

Sang peur et sang reproche

Sans beurre et sans brioche

Heaume sweet heaume langagier

 

Idéal costumier coutumier de la couture

En habit d’Arlequin emperruqué perroquet pérorant empaillé

Faire de la broderie au point d’écume, d’écumer, de traquer, de troquer

Détraquer

Appel du grand rivage du double virage

 

Larguer les voiles omettre les voiles

Se voiler s’occulter s’occuper à se farcir des attrapes-mouches

Des tapettes à sourire.

A se forcir, se fourbir dans le dedans des mots qui s’épuisent à survivre

« Didon dîna dit-on du dos d’un dodu dindon du Don »

tongue-twister

tongue sister


Virelangue

 

 

s’enjouer d’atouts et de rien, un peu belote, un peu belette

Papille de la notion, gelé sur le bout de la langue qui dort sous la gangue

 

 

Rien dans les mains rien dans l’Épochè

Riens qui rient qui se rient

Dans les plis du rideau du radeau médusé des demains qui s’agrippent

 

Mésusage de Mélusine fumées qui s’échappent par des chemins, cheminées fastasmagoriques

Abusif obusif c’est d’la bombe c’est d’la tombe

 

Toi, rien ne tâta, rien ne tatin: 7 à 1:37

12 essais d'insolitude - Jacques Rebotier

et Elise Caron, moi ces gens là me font du lien.

 

***

toi rien ne tatin, rien ne tatin

***


 

 

… vraiment

ce tarin cire anneau rien ne t’atteint dans la perte de ton latin.

« Pourquoi donc prendre un air dénigrant ? » Sérano jouant Cyrano

 

 

 

vingt ans après toujours qu’on plisse

compliments

à « Chaque Rebotier »

 

 

comptine enfantine frère Jacques Prévert sonne ses mâtines

les quatre moustiquaires tendues en haut du mât qui résistent aux piqûres et aux coups de bâton

de bâts en eaux ................................................................................................................

motilité des mots prêts à se mouvoir en sortant de l’école,

Jacques prêt vers et garde-barrière

Prêt à se mouvoir à se ruer vers l’hors du couloir de la mort

Boudoir bout du tunnel circonstanciel, conscrits et circonscrit de l’histoire :

Anamnèse

 

Dans le carré blanc d’un mouchoir volens nolens allez paf...

un volapük.............passe

 

grillée

je suis huée huette

comme la cacaouète

 

lucide et ludique sont dans un bateau.

et ouais.

 


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30 mai 2012 3 30 /05 /mai /2012 13:40

malaise_dans_la_representation1_latululireli.JPEG

 

 

pouvoir et contre-pouvoir / roland barthes / leçon

http://egophelia.free.fr/pouvoir/barthes.htm

 

"Le langage est une législation, la langue en est le code. Nous ne voyons pas le pouvoir qui est dans la langue, parce que nous oublions que toute langue est un classement, et que tout classement est oppressif : ordo veut dire à la fois répartition et commination. Jakobson l'a montré, un idiome se définit moins par ce qu'il permet de dire, que par ce qu'il oblige à dire. Dans notre langue française (ce sont là des exemples grossiers), je suis astreint à me poser d'abord en sujet, avant d'énoncer l'action qui ne sera plus dès lors que mon attribut : ce que je fais n'est que la conséquence et la consécution de ce que je suis ; de la même manière, je suis obligé de toujours choisir entre le masculin et le féminin, le neutre ou le complexe me sont interdits ; de même encore, je suis obligé de marquer mon rapport à l'autre en recourant soit au tu, soit au vous : le suspend affectif ou social m'est refusé. Ainsi, par sa structure même, la langue implique une relation fatale d'aliénation. Parler, et à plus forte raison discourir, ce n'est pas communiquer, comme on le répète trop souvent, c'est assujettir : toute la langue est une rection généralisée.

 

(...)

 

La langue, comme performance de tout langage, n'est ni réactionnaire, ni progressiste ; elle est tout simplement : fasciste ; car le fascisme, ce n'est pas d'empêcher de dire, c'est d'obliger à dire.

Dès qu'elle est proférée, fût-ce dans l'intimité la plus profonde du sujet, la langue entre au service d'un pouvoir. En elle, immanquablement, deux rubriques se dessinent : l'autorité de l'assertion, la grégarité de la répétition. D'une part la langue est immédiatement assertive : la négation, le doute, la possibilité, la suspension de jugement requièrent des opérateurs particuliers qui sont eux-mêmes repris dans un jeu de masques langagiers ; ce que les linguistes appellent la modalité n'est jamais que le supplément de la langue, ou ce par quoi, telle une supplique, j'essaye de fléchir son pouvoir implacable de constatation. D'autre part, les signes dont la langue est faite, les signes n'existent que pour autant qu'ils sont reconnus, c'est à dire pour autant qu'ils se répètent ; le signe est suiviste, grégaire ; en chaque signe dort ce monstre : un stéréotype : je ne puis jamais parler qu'en ramassant ce qui traîne dans la langue.

Dès lors que j'énonce, ces deux rubriques se rejoignent en moi, je suis à la fois maître et esclave : je ne me contente pas de répéter ce qui a été dit, de me loger confortablement dans la servitude des signes : je dis, j'affirme, j'assène ce que je répète.


Dans la langue, donc, servilité et pouvoir se confondent inéluctablement. Si l'on appelle liberté, non seulement la puissance de se soustraire au pouvoir, mais aussi et surtout celle de ne soumettre personne, il ne peut donc y avoir de liberté que hors du langage. Malheureusement, le langage humain est sans extérieur : c'est un huis clos. On ne peut en sortir qu'au prix de l'impossible : par la singularité mystique, telle que la décrit Kierkegaard, lorsqu'il définit le sacrifice d'Abraham, comme un acte inouï, vide de toute parole, même intérieure, dressé contre la généralité, la grégarité, la moralité du langage ; ou encore par l'amen nietzschéen, ce qui est comme une secousse jubilatoire donnée à la servilité de la langue, à ce que Deleuze appelle son manteau réactif.


Mais à nous, qui ne sommes ni des chevaliers de la foi ni des surhommes, il ne reste, si je puis dire, qu'à tricher avec la langue, qu'à tricher la langue.

 

Cette tricherie salutaire, cette esquive, ce leurre magnifique, qui permet d'entendre la langue hors-pouvoir, dans la splendeur d'une révolution permanente du langage,  je l'appelle pour ma part : littérature."

 

---

 

roland barthes : leçon inaugurale de la chaire de sémiologie littéraire du Collège de France, prononcée le 7 janvier 1977

 

http://egophelia.free.fr/pouvoir/barthes.htm

 

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28 avril 2012 6 28 /04 /avril /2012 20:50

 

  personne ne sait

 

personne ne sait vraiment

 

vraiment, or sang

 

Or sang

Or vert


 or bleu

 

Or bleus les coups pleuvent

Orties - Tea party

 

 

ci-gît ... sous la Chimère

 

ci-git-sous-la-chimere.jpeg

 

Dans un trou - noir ordinaire

 

dans-un-trou-ordinaire.jpeg

 

 

Heureusement... il y a prairies

 

il-reste-un-peu-d-eau.jpeg

 

 

« Je ne suis pas une grande dame de la chanson, je ne suis pas une tulipe noire, je ne suis pas poète, je ne suis pas un oiseau de proie, je ne suis pas désespérée du matin au soir, je ne suis pas une mante religieuse, je ne suis pas dans les tentures noires, je ne suis pas une intellectuelle, je ne suis pas une héroïne, je suis une femme qui chante !» 

 

«  La chanson est dans le quotidien de chacun ; c'est sa fonction, sa force.
Sociale, satirique, révolutionnaire, anarchiste, gaie, nostalgique...
Elle ramène chacun de nous à son histoire. »

 

Barbara

 

* La Porteuse d'eau est une statue en bronze de Julien Dillens érigée au centre de la place de la Barrière à Saint-Gilles le 10 avril 1900.

http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Porteuse_d%27eau

 

Julien Dillens s'inspira d'une jeune fille réelle qui puisait l'eau du Bocq, à proximité de la place, pour abreuver les chevaux qui tiraient l'omnibus qui avait son terminus sur la place

 

 

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la-porteuse-d-eau-F.de-Goya-copie-1.jpg

 

La porteuse d'eau - Francisco de Goya

 

 

Goya, cauchemar plein de choses inconnues,
De fœtus qu’on fait cuire au milieu des sabbats,
De vieilles au miroir et d’enfants toutes nues,
Pour tenter les démons ajustant bien leur bas.

Charles Baudelaire - Les Phares
Sur la peinture de Francisco Goya

 


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28 avril 2012 6 28 /04 /avril /2012 20:16

il-etait-une-fois.jpeg

 

Il était une fois, une seule fois


 

sur-une-route-ordinaire.jpg

 

 

sur une route ordinaire,

 

enfin-presque.jpeg

 

 

enfin... presque


 

par-un-jour-ordinaire.jpeg

 

par un beau jour ordinaire,

 

des-genzordinaires.jpeg

 

arrivent des genzordinaires,


... enfin

 

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enfin... presque

 

mangera-t-il-son-chapeau.jpeg

 

Question : Mangera t-il son chapeau ?

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13 avril 2012 5 13 /04 /avril /2012 12:33

 

 

 

 

 

***

 

“A l’heure où les différences de parcours, d’origines, de pratiques sociales, religieuses, culturelles, si elles ne sont pas niables, sont tristement interrogées en termes d’« identité nationale », des questions demeurent : comment apprendre à écouter l’autre, Mozart, l’ennemi ou l’ami ?

Dans quelle mesure, à quelle(s) condition(s) et comment, concrètement, ce patrimoine le plus souvent clivant socio-culturellement, peut-il devenir un patrimoine commun ? » 

 

http://www.rue89.com/2011/04/22/a-lecole-mozart-et-la-princesse-de-cleves-meme-combat-200876?sort_by=thread&sort_order=ASC&items_per_page=50

 

 


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11 avril 2012 3 11 /04 /avril /2012 00:57

 

 

 

 

 

 

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Dewplayer (lecteur MP3)  des explications très claires ici

 

Il se pourrait que l'adresse où sont hébergés les MP3 comporte des caractères spéciaux, le lecteur ne fonctionnera pas, (c'était le cas http://www.fileden.com/files/2012/4/4/3287530/My%20Documents/03%20Bococh%C3%A9.mp3)

la passer par Tiny Url a permis d'éliminer le problème.

 

 

vert2

 

 

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10 avril 2012 2 10 /04 /avril /2012 13:31

 

 

 

Stop !

 

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Ah vous dirais-je maman...

                         "Anamnèse"

  Anamnèse
 

Qu'il y a t-il dans une noix
Quête ? en quête ? contre-enquête ?

Questions en pas science...

mais un beau matin......

l'épreuve sans les preuves devient chemin.

Question de patience.

Cultiver son lopin, son lapin,

l'attraper par les oreilles, les bonds
les sons, les couleurs, attraper la balle au bond,

la balle et le son à Foison, à Foi Son...

c'est ce que fait madame la Baluche avec son silène,

le compagnon blanc

 

  baluche-en-voyage-redboots2013.png

Premières mesures de la préface de Michel Foucault :

Les Mots et les Choses.

Une archéologie des sciences humaines (1966)

« Ce livre a son lieu de naissance dans un texte de Borges.

Dans le rire qui secoue à sa lecture toutes les familiarité de la pensée –

de la nôtre : de celle qui a notre âge et notre géographie –

ébranlant toutes les surfaces ordonnées et tous les plans

qui assagissent pour nous le foisonnement des êtres,

faisant vaciller et inquiétant pour longtemps notre pratique millénaire

du Même et de l’Autre.

Ce texte cite « une certaine encyclopédie chinoise »

où il est écrit que les animaux se divisent en

a) appartenant à l’Empereur,

b) embaumés,

c) apprivoisés,

d) cochons de lait,

e) sirènes),

f) fabuleux,

g) chiens en liberté,

h) inclus dans la présente classification,

i) qui s’agitent comme des fous,

j) innombrables,

k) dessinés avec un pinceau très fin en poil de chameau,

l) et caetera,

m) qui viennent de casser la cruche,

n) qui ressemblent à des mouches.


Dans l’émerveillement de cette taxinomie……….

Tamis &Amp; Tatami